Williame (La Longueville 59)(groupe Ghestem)

Renault Magnum.

belle photo stpeh

si tu aurais vu la cour de la société en 1996 , sale , avec du vieux matos déglingué et d'un seul coup changement du vieux matériel par du neuf, nouvelle sérigraphie sur les camions et localisation par satellite dans les cabines, mais que c'est'il donc passé

Nouveaux contrats peut être, en tout cas ils se débrouillent bien car c'est la société qu'on voit dans "rien à déclarer" et on voit bien la pub.

Créée à Trélon après-guerre par Lucien Williame, la société s'est
développée en Sambre dans le transport et la logistique à partir de 1981
et la prise de direction du fils, Michel. L'entreprise familiale occupe
aujourd'hui 50 000 m² sur différents sites, comme celui de Maubeuge,
avenue Chausson à Douzies, et emploie 120 personnes.

infos du net

Pas mal, ca commence a faire du monde.

Jean-Pierre a écrit:Nouveaux contrats peut être, en tout cas ils se débrouillent bien car c'est la société qu'on voit dans "rien à déclarer" et on voit bien la pub.

Depuis la sortie nationale du film « Rien à
déclarer », le téléphone de la société Williame n'arrête pas de sonner.
Les clients du transporteur et logisticien sambrien sont nombreux à
formuler un petit mot gentil : « C'est sympa, on a vu votre camion dans
le film ! » Une petite fierté pour le patron Michel Williame et ses
120 employés.
Le Renault Magnum 380 - puisque c'est lui la
star - a été acheté neuf par l'entreprise en 1993. Après de bons et
loyaux services et plus d'un million de kilomètres au compteur, il était
depuis quelque temps réservé à un usage interne. Jusqu'à début 2010. Le
responsable commercial de Williame, Jean-Pierre Rousseaux, en contact
avec l'équipe du tournage, apprend qu'elle cherche un camion en
particulier et « d'époque ». Il pense aussitôt à celui de l'entreprise.

Histoire de famille

Retenu, le tracteur maubeugeois est
restauré, un vrai lifting : « Il a eu droit à une peinture complète dans
nos ateliers. Nous lui avons aussi retrouvé sa calandre et ses phares
d'origine », explique Jean-Pierre Rousseaux. Le nom de Williame apparaît
en grand, noir sur blanc, sur le devant et l'arrière de la remorque.
Sur les portes, il a fallu revenir en arrière : « Nous avons pu remettre
le numéro de téléphone de la société mais à huit chiffres, sans le "03"
bien sûr. » Idem pour les plaques d'immatriculation : noires,
obligatoire... C'est Arnaud Williame, le fils, qui s'est installé au
volant pendant le tournage. Le camion apparaît au début du film : dans
un embouteillage au poste de douane de Macquenoise, avant l'ouverture
des frontières. Une frontière qui a marqué Michel Williame : « Elle a
toujours été au coeur de notre vie familiale et de la vie de
l'entreprise. » Le fondateur, son père Lucien, habitait Ohain, côté
français, et allait voir sa fiancée belge, Reine, tous les jours à
Beauwelz. Avec une grosse part de clientèle belge, la société est née
après-guerre à Trélon... À 13 km de Courquain. Pardon, Macquenoise

Un jolie coup de pub pour ce transporteur tous ceux qui aiment les camions l'auront remarqué dans le film.

J'ai fusionné les deux sujets.

Merci Jean Pierre c'est sympa.

Merci pour cette photo Patrice.

Merci Patrice.

Merci , belle prise.